La libération de dizaines de djihadistes dans les années à venir inquiète au plus haut point le parquet national antiterroriste (PNAT) et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) mais aussi les élus, à commencer par les maires. Selon les chiffres communiqués début février par le ministère de l’Intérieur, en 2020, 45 personnes condamnées pour des faits de terrorisme vont sortir de prison. Elles seront 57 en 2021 et 46 en 2022.
Ces libérations interviennent alors que le phénomène de l’islamisme en prison s’aggrave. A ce jour, 513 détenus sont considérés comme des terroristes islamistes et 900 personnes, condamnées pour des faits de droit commun, sont, selon la qualification retenue par l’administration pénitentiaire, « susceptibles de radicalisation ».
La droite durcit le ...
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