Du vélo au semi-remorque en passant par les machines d’outillage des ateliers ou des espaces verts… Bordeaux Métropole vend depuis une douzaine d’années le matériel dont elle n’a plus l’usage via le service national du Domaine. La collectivité engrange ainsi de 280 000 à 430 000 euros selon les années, avec un record de 553 000 euros pour l’année 2019. «Avec un simple identifiant, j’inscris les biens que nous souhaitons vendre et le Domaine s’occupe de la vente et éventuellement des papiers en cas de cession de véhicule. Une fois que le matériel est amorti, si de trop importants travaux sont nécessaires, nous n’investissons plus dessus», explique Eric Barrière, surveillant de travaux, chargé des ventes à Bordeaux Métropole.
La valorisation du patrimoine mobilier
La DNID propose en ...
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Gazette des Communes, Club Finances
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