Vous venez d’être nommé pour quatre ans président du conseil d’administration de Préfon, où vous représentez la CFE-CGC, l’une des quatre organisations syndicales fondatrices (1). Cette étiquette aura-t-elle une influence sur votre présidence ?
Je veux d’abord préciser que mon engagement est ancien : je suis un « vieux de la veille » de l’action syndicale. Très tôt, dans mon métier de fonctionnaire de police nationale – au service du renseignement -, j’ai adhéré au syndicat Alliance, puis à la CFE-CGC et sa fédération services publics. Et depuis 2015, je m’intéresse aux retraites en siégeant aux conseils d’administration de Prefon, mais aussi de l’Erafp et de l’Ircantec. Ceci par amitié pour des copains d’autres organisations syndicales qui défendent les mêmes valeurs que moi. Il est évident, ceci dit, que je porte les idéaux de mon organisation. La CFE-CGC est notamment partie prenante, depuis longtemps, du développement de l’épargne salariale.
Certains, dans le débat public autour de la réforme des retraites, ont exprimé la crainte que celle-ci ne favorise finalement les organismes de retraite par capitalisation, s’agit-il de cela ?
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