Après s’être battus pour obtenir l’assouplissement du 80km/h sur les routes dont ils ont la gestion, les départements prendront-ils leur responsabilité ? Lors des débats concernant la loi Mobilités, promulguée le 24 décembre, une soixantaine de département annonçaient leur intention de revenir aux 90km/h selon une enquête de France Inter. Mais aujourd’hui, les élus ne sont plus aussi affirmatifs. Et pour cause, ils devront respecter plusieurs conditions.
Pour rappel, l’arrêté doit être pris sur la base d’une étude d’accidentalité, réalisée grâce aux éléments d’aide à la décision établis par le comité d’experts du conseil national de la sécurité routière (CNSR), et avec l’éclairage de la commission départementale de la sécurité routière présidée par le préfet. Un avis consultatif, mais qui ...
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