Frédéric Ville
Nantes Métropole expérimente via sa société de transports une navette fluviale à hydrogène. Après quatre ans de conception-réalisation, la mise en service bute sur des problèmes de gestion logicielle de la sécurité.
Ma Gazette
Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée
La société d’économie mixte des transports en commun de l’agglomération nantaise (Semitan) est en passe de remettre en service sa navette fluviale à hydrogène baptisée NavibusH2, c’est la première du genre en France.
Conçue en mode catamaran pour gagner en légèreté et stabilité, elle embarque dans ses coques une batterie, des hélices, les arbres d’hélices et de transmission.
Filière hydrogène
En hauteur et à l’air libre, sécurité oblige, la réserve à hydrogène qui lui confère quatre jours d’autonomie et les piles à combustibles transformant l’hydrogène et l’oxygène de l’air en électricité, en chaleur et en eau.
C’est en 2012 que la Semitan est retenue au concours Titec (transfert industriel et tests en conditions réelles) lancé par l’Ademe, appuyée par la région Pays de la Loire souhaitant ...