L’ancien ministre, qui tirera sa révérence en 2021, n’a rien d’un dangereux révolutionnaire. Ancré depuis toujours au centre-droit de l’échiquier politique, il a même en 2018 claqué la porte du parti LR pour protester contre la ligne identitaire impulsée par Laurent Wauquiez. Macron-compatible, il a applaudi à la réforme de la SNCF. Et, pourtant, au chapitre des « territoires », il ne mâche pas ses mots. « Je suis extrêmement interrogatif après ce que j’ai attendu hier. Je n’ai pas vraiment ressenti une vraie volonté décentralisatrice », a déploré Dominique Bussereau, le président (Divers droite) de l’Assemblée des départements de France au lendemain du discours d’Emmanuel Macron devant le congrès des maires.
Membre du club Territoires Unis aux côtés du patron de l’Association des maires ...
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