Les musiques actuelles seraient-elles victimes de leur succès ? Alors que d’année en année, l’engouement du public (et des bénévoles) ne se dément pas, et que les recettes des billetteries progressent, les « grands groupes » (Vivendi, Fimalac, Lagardère etc.) convoitent de plus en plus les structures organisatrices d’événements ou gestionnaires de salles qu’ils absorbent, pour créer des synergies et s’imposer sur le marché de la scène musicale, à coups d’intégrations horizontales et verticales sur diverses activités (billetterie, salles, tournées, communication, matériels techniques etc.).
Diversité artistique en danger
Cette tendance à la concentration menace l’existence des petites structures, déjà fragilisée par divers facteurs :
- baisse de subventions publiques ;
- surcoûts ...
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Gazette des Communes
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