« La différence entre 2014 et 2020, c’est le réseau », assure Thomas Simon, coordinateur d’Action commune, une association qui accompagne des listes participatives en France. Militants, professionnels, personnes ayant des expériences participatives dans les communes… les citoyens désireux de créer une telle liste disposent aujourd’hui de plus de recul et d’aide qu’en 2014 pour se structurer.
Cette année, plus de 130 listes ont déjà sollicité l’aide d’Action commune, mais elles pourraient être 200 ou 300 en cours de constitution sur tout le territoire : « Il n’existe pas de définition exacte de ce qu’est une liste participative. Certaines sont constituées de puristes souhaitant un fonctionnement uniquement horizontal. D’autres sont des listes politiques qui revendiquent le concept, détaille ...
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Gazette des Communes