Rappelons que 322 collectivités ont été largement invitées à signer un contrat avec l’État imposant de respecter un taux directeur de progression annuelle des dépenses de fonctionnement de 1,2 % sous peine de sanctions qu’on peut qualifier de dissuasives…
L’érosion de la seconde partie de mandat
Une contractualisation tièdement accueillie par les collectivités locales qui ont fait contre mauvaise fortune bon cœur au sortir de 4 années de baisse des dotations qui avaient amputé 8% de leurs recettes courantes de fonctionnement. Entre deux maux, la contractualisation est apparue comme le moins mauvais puisque les collectivités, bien que bridées, conservaient leurs recettes pour investir, se désendetter ou baisser la pression fiscale (cas de Nîmes dès ...
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