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Patrimoine

Dans quels cas l’accord de l’ABF n’est pas nécessaire dans les abords de monuments historiques ?

Publié le 01/10/2019 • Par Léna Jabre • dans : Réponses ministérielles, Réponses ministérielles

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Réponse du ministère de la culture : La protection au titre des abords des monuments historiques classés et inscrits concerne aujourd’hui près de 17 000 communes sur l’ensemble du territoire. Il s’agit d’un dispositif essentiel en termes de protection et de mise en valeur du patrimoine architectural, urbain, rural et paysager ainsi que de qualité du cadre de vie.

Cette protection, définie à l’article L. 621-30 du code du patrimoine, s’applique aux immeubles situés dans un périmètre dit « délimité » c’est-à-dire un périmètre adapté aux enjeux spécifiques de chaque monument historique et de son environnement. À défaut de périmètre délimité, la protection au titre des abords s’applique à tout immeuble bâti ou non bâti visible du monument historique ou visible en même temps que lui et situé à moins de 500 mètres. Les travaux susceptibles de modifier l’aspect extérieur d’un immeuble, bâti ou non bâti, protégé au titre des abords sont soumis à une autorisation préalable. Cette autorisation nécessite l’accord de l’architecte des Bâtiments de France en application de l’article L. 621-32 du code du patrimoine.

Dans l’hypothèse où un projet serait situé à moins de 500 mètres d’un monument historique mais ne serait pas visible du monument historique ou en même temps que lui, le dossier de demande d’autorisation de travaux n’aurait pas à être soumis à l’accord de l’architecte des Bâtiments de France.

Toutefois, l’architecte des Bâtiments de France, de par ses compétences en matière d’architecture et d’urbanisme, est en mesure de formuler des recommandations sur le dossier de demande d’autorisation de travaux.

Les conseils et l’expertise technique de l’architecte des Bâtiments de France sont en effet précieux, et le dialogue avec les porteurs de projet et les collectivités territoriales doit être favorisé. Les services du ministère de la culture sont attentifs à la conciliation de la préservation du patrimoine et du paysage avec le développement de l’énergie solaire.

Une collaboration entre les porteurs et les services de l’État (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement-direction régionale des affaires culturelles), en amont des projets, permet le développement de l’énergie solaire photovoltaïque dans le respect du patrimoine bâti et paysager.

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