Quelles premières conclusions tirez-vous de l’accompagnement des collectivités dans le cadre de l’appel à projets « repenser la périphérie commerciale » ?
Les périphéries commerciales, comme les centres-villes, sont à la recherche d’un nouveau souffle. Les modes de consommation et les comportements d’achat évoluent, de la même manière que les mobilités. La vacance commerciale augmente également dans les zones commerciales.
L’ensemble du paysage est aujourd’hui en recomposition. Plutôt que d’opposer centres et périphéries sur ce sujet, il est temps de réfléchir aux complémentarités, dans les projets urbains comme dans les projets de territoire.
Les périphéries commerciales se sont souvent développées de façon anarchique. Quels sont les enjeux aujourd’hui ?
Ce sont des secteurs stratégiques pour demain : les périphéries commerciales sont petit à petit rattrapées par la ville, elles y sont parfois déjà intégrées. Devant l’enjeu de sobriété foncière, ce sont des gisements fonciers qui peuvent être exploités pour le renouveau de la ville.
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Gazette des Communes
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