Données personnelles des usagers, de flux de voyageurs, de revenus induits, de transactions financières liées à la billettique… Construire une application MaaS demande et génère une foultitude de données plus ou moins sensibles, qui sont nécessaires au développement et à l’amélioration continue du service. Mais il convient de les contrôler et de les protéger pour éviter certaines dérives de prédation de données personnelles ou de concurrence déloyale entre les divers partenaires de transport publics et privés concernés.
Trois piliers
Selon le Gart, la mise en place d’un service MaaS doit s’appuyer sur trois piliers : un système d’information multimodale (SIM), qui est une plateforme numérique de collecte et de partage de données d’information voyageur et de calcul d’itinéraires ; un système ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Cet article fait partie du Dossier
Les transports taillés dans le MaaS
Sommaire du dossier
- Mulhouse renforce son MaaS
- MaaS : les régions se lancent dans la mobilité servicielle
- « L’opérateur local des transports en commun doit être le moteur d’un MaaS »
- Avec le MaaS, la mobilité, c’est dans la poche
- MaaS : en France et à l’international, les initiatives se multiplient
- Vélo, bus, covoiturage… la mobilité dans la poche
- Partage et ouverture des données : deux points clés pour se lancer dans le MaaS
- MaaS : « la loi prévoit d’encadrer les échanges de données par contrat »
Thèmes abordés