En tant qu’association de naturalistes, parfois mandatés en tant qu’experts, par des maîtres d’ouvrage publics, êtes-vous surpris par les enseignements de cette étude publiée par le journal Biological Conservation ? Avez-vous des exemples ou contre-exemples à citer ?
Ce n’est pas une surprise pour la LPO (Ligue de protection des oiseaux). Nous savons que cette pratique n’est pas assez encadrée, et manque de moyens de suivi de la part de l’Etat. Nous n’accompagnons que des projets non contestés. Nous aidons à réduire les impacts ou à déployer des mesures compensatoires. Par exemple, sur la LGV Tours-Bordeaux, nous étions prestataires partenaires concernant le vison d’Europe. Nous nous sommes rendus compte, en avançant, que les mesures surfaciques n’étaient pas pertinentes. C’est ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Thèmes abordés