Le conseil de surveillance a voté le 26 mars un plan de retour à l’équilibre qui imposait des sacrifices : pourquoi ce coup de poing sur la table aujourd’hui ?
Le conseil de surveillance est une instance délibérative, je le rappelle. Le 26 mars, il a été mis au pied du mur : soit le plan de retour à l’équilibre était voté, soit aucun budget n’était présenté et l’établissement était placé sous tutelle. Fermeture d’une trentaine de lits et suppression d’une cinquantaine d’emplois (par non renouvellement de contrats), les risques de dégâts étaient grands. D’ailleurs, déjà en tension, le service des urgences s’est aussitôt mis en grève illimitée. Conscient de la situation, j’ai adressé le 2 avril une lettre à Agnès Buzyn où j’ai relayé la détresse des personnels et leurs demandes légitimes de ...
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