La transition énergétique invite à travailler autrement. Donc à adapter les missions confiées à certains agents. Elle incite aussi à la création de nouveaux postes. « Une commune dépense environ 50 euros par an et par habitant en énergie pour l’éclairage public, ses bâtiments, son carburant. Au-delà de 10 000 habitants, on considère qu’elle a intérêt à financer le salaire d’un économe de flux qui l’aidera à réduire sa consommation de 10 % sans investissement majeur », explique Michel Irigoin, directeur de l’énergie de Montpellier (4 270 agents, 281 600 hab.).
Pas de formation idéale
Les collectivités partageant ce constat ont chacune leur conception des missions à confier à cet économe… Que l’on appelle d’ailleurs différemment selon les tâches qu’on lui attribue, la ...
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