Réduire la place des voitures en ville, c’est l’un des enjeux clés des prochaines décennies pour tous les élus urbains. L’idée est d’aller vers des villes plus apaisées, moins polluées, plus sûres, où les piétons et les autres mobilités douces sont mieux pris en compte. Pour cela, l’une des décisions emblématiques est de réduire la vitesse maximale autorisée, en passant de 50 km/h à 30 km/h. « Dans les années 1980, on a donné beaucoup trop de place à la voiture. Aujourd’hui, on est en train de revenir sur cette politique en encadrant beaucoup plus le stationnement et en diminuant la vitesse », confirme Matthieu Chassignet, expert en mobilité à l’agence régionale des Hauts-de-France de l’Ademe.
Une décision transpartisane
Le sujet était à l’honneur des dernières universités d’été des partis ...
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