Avec Marseille, les Bouches-du-Rhône comptent désormais treize cellules municipales d’échange sur la radicalisation (CMER). Le dispositif est déployé depuis décembre 2017 via la préfecture départementale de police qui a renouvelé son accord annuel avec le cabinet ERM pour organiser la mise en place des cellules, financées en totalité par le Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD).
Toutes les quatre à six semaines, la CMER réunira le maire, la police municipale, la police nationale, les services de renseignement territorial ainsi que l’autorité judiciaire, si elle en émet le souhait. Des intervenants ponctuels pourront être invités. L’objectif est de « participer à la détection et au signalement » des cas de radicalisation « violente », de « contribuer » aux mesures ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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