En novembre 2018, 90 % des élus interrogés par l’Agence bio disaient être motivés par l’introduction du bio. Mais 82 % citaient le prix comme premier frein. Leur motivation ? Valoriser les produits locaux. C’est le cas de nombreux départements, qui préfèrent soutenir le local en faisant l’impasse sur le bio – qui correspond pourtant à une attente forte des citoyens. Ils n’auront, en tout état de cause, pas le choix, car la loi « Egalim » fixe à la restauration collective l’objectif d’atteindre, en 2022, 50 % d’achats hors taxe de denrées de qualité, avec label, dont 20 % de bio, en tenant compte des externalités environnementales. Vaste programme…
Pour réduire l’empreinte environnementale de ses approvisionnements, la ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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