Guerra Fabien
Les espèces ornementales ayant des capacités différentes à s’enflammer et à brûler, leur rôle dans la propagation du feu doit mieux être pris en compte pour réduire la vulnérabilité du patrimoine foncier des collectivités. Notamment dans les zones à l’interface entre habitations et forêt.
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Par Anne Ganteaume, directrice de recherche – Risque incendie de forêt-écologie du feu à Irstea Aix-en-Provence
Les zones d’interfaces entre habitations et forêt sont un environnement complexe en termes de combustibles. Dans ces interfaces composées d’un mélange de végétation et de bâtiments, le risque incendie est élevé et, régulièrement, de nombreux feux de forêt menacent voire dévastent des agglomérations dans le monde (comme en 2018 en Californie ou plus près de chez nous, à Mati en Grèce, par exemple). Ces feux peuvent avoir des conséquences dramatiques autant en termes de vies humaines que de dégâts matériels. La ...