Comme d’autres pays, la Suisse a été confrontée, lors de la première vague, à un défaut de respirateurs artificiels, et durant la deuxième au manque de compétences humaines et à l’insuffisance de places dans les établissements de soins. La pandémie a ainsi porté sur la place publique le pire dilemme éthique qui soit, celui de la pénurie de ressources et de la priorisation pour y faire face.
Directive Covid
« L’alerte a été donnée à l’Académie suisse des sciences médicales (ASSM) par les hôpitaux et la Société suisse de médecine intensive », explique Valérie Clerc, secrétaire générale de l’ASSM : « On ne pouvait pas se retrouver sans règles communes fixées pour l’ensemble du pays ». Car si le tri des personnes intervient au quotidien dans les soins intensifs, la réflexion théorique de la ...
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