Cerema
Les propriétaires de certains établissements recevant du public doivent surveiller la qualité de l’air intérieur. Cette obligation doit permettre d’évaluer ou d’engager une démarche d’amélioration de la qualité de l’air respiré dans ces locaux.
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Par Stéphane Colle, chargé d’études en qualité sanitaire des bâtiments, Cerema Ouest/DLAn/GEB
Selon l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI), l’air intérieur est « de qualité acceptable s’il ne contient aucun polluant connu à des concentrations dangereuses et si une majorité des occupants n’exprime pas une insatisfaction ou des malaises durant les périodes d’occupation ».
Ainsi la qualité de l’air intérieur (QAI) n’est pas décrite par une norme unique, bien qu’elle soit une préoccupation de santé publique. Depuis sa création en 2001, l’OQAI a documenté ...