« Notre démarche s’inscrit dans un contexte global, celui du plan national de prévention de la radicalisation, qui, dans sa dernière version, met l’accent sur le rôle que peuvent jouer les collectivités. Cet axe de travail n’est pas forcément naturel, encore moins pour les régions dont ce n’est pas le cœur de compétences », analyse Laurent Vercruysse, directeur général des services de la région Hauts-de-France. Pourtant, la collectivité est impliquée dans des domaines d’intervention qui « permettent de justifier qu’une telle action soit menée à notre échelon », poursuit-il.
Lycées, clubs de sport…
Lancé en juin 2018, le plan de prévention de la radicalisation de la région se décline en effet en six axes qui sont autant d’espaces et de publics à toucher. Le premier a trait au monde ...
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