Fin 2017, la Chine a décidé de fermer ses portes aux déchets et matières secondaires de mauvaise qualité que les pays du monde entier avaient pris l’habitude de lui envoyer. Une décision liée à sa volonté d’imposer aux entreprises chinoises des normes environnementales plus strictes. La Malaisie et l’Inde lui ont récemment emboîté le pas, tandis que la Thaïlande et le Vietnam vont suivre le mouvement. En France, par effet domino, c’est toute la filière de traitement qui est touchée, en particulier les centres de tri qui n’ont plus de solution de valorisation pour certains gisements. Miser sur une économie plus circulaire n’est plus simplement une préoccupation environnementale. C’est une urgence.
La fermeture de frontières sud-asiatiques aux déchets occidentaux paraît lointaine. En quoi ...
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