Des vélos propulsés par un moteur électrique, lui-même alimenté par une pile à combustible dihydrogène. C’est à Cherbourg-en-Cotentin que, depuis deux ans, la communauté d’agglomération du Cotentin (130 communes, 181 300 hab.) teste ces équipements. On parle plus simplement de « vélos à hydrogène » et plus généralement de « mobilité hydrogène », car la technologie pourrait potentiellement s’adapter partout. Son argument : être décarbonée et dotée d’une grande autonomie. Reste à en convaincre le citoyen et à pérenniser la filière industrielle.
« L’idée est avant tout de faire la promotion de l’hydrogène », indique Arnaud Catherine, adjoint (PS) au maire de Cherbourg-en-Cotentin, chargé de l’énergie et de la transition énergétique. « Nous visons les touristes, mais c’est d’abord pour tester ...
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Gazette des Communes
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