Ce n’est qu’une remise au goût du jour – mais qui s’avère nécessaire – de la loi « Aillagon » sur le mécénat d’entreprise. Selon la fondation Break Poverty, seulement 14 % des entreprises françaises font du mécénat et, parmi elles, 17 % réalisent du mécénat social. En lançant la DAT au début de l’année 2018, Break Poverty les incite donc à affecter jusqu’à 2 % de leur résultat net à des actions visant à prévenir la pauvreté chez les enfants et les jeunes sur leur territoire.
Un investissement déductible des impôts à hauteur de 60 % des frais engagés. « Jusque-là, rien de nouveau, concède Denis Metzger, président de Break Poverty. Le changement réside dans le fait que nous allons demander aux entreprises, par voie législative, de publier dans leur rapport annuel ce qu’elles ...
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