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L’association Amorce publie un rapport sur les données mises à disposition des collectivités pour les aider à définir et à évaluer leur politique de transition énergétique de manière plus objective. Difficilement accessibles, elles manquent encore de précision, de fiabilité et d’homogénéité, jugent les acteurs locaux.
Ma Gazette
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En 2015, c’est peu dire que les collectivités ont bataillé pour obtenir l’article 179 de la loi de Transition énergétique pour la croissance verte. « Il n’a pas déchaîné les passions, mais c’était l’un des plus importants », commentait Nicolas Garnier, au lendemain de la publication du texte.
Presque quatre ans plus tard, l’association Amorce dont il est le délégué général publie un rapport relatant la manière dont les collectivités se sont saisies des données que les gestionnaires de réseaux énergétiques sont désormais contraints de leur fournir. Force est de constater que la coupe est à ...
Et bien voilà une illutration de mon propos précédent. Le process mis au point par Edda-Energie repose sur la gazéïfication de la biomasse et des déchets solides et secs. Notre toute petite équipe sans aucun moyen (soyons honnête) avec des moyens tres limités) accueille à coup sûr les spécialistes les plus pointus dans le domaine en France et peut être dans le monde. Et là aussi je pèse mes mots.Notre but : faire au niveau des territoires des petites centrales de cogénération utilisant des combustibles disponibles dans ces territoires. Nous ne faisons pas que discourir sur les bienfaits de l’energie circulaire, nous la mettons en pratique !! L’application idéale: l’application des petits réseaux de chaleur Nous avons donc contacté à cet effet AMORCE, bien sûr, ADEME laquelle est globalement totalement incompétente en ma matière mais dont un homme plus fin que les autres nous a aidé au départ (il y a parfois même au sein d’ADEME des courants contraires qui s’annulent)le CLER, omniprésent mais sans doute trop occupé ou dépassé, et bien sûr, Via Séva évidemment, le CIBE avec qui dernièrement(une dizaine de jours) nous avons bien travaillé, c’est parti, le CNB (?)et d’autres assos protectrices de la foret y compris les plus importantes qui semblent indifférentes et on continue joyeusement à faire n’importe quoi dans les forêts, bref un énorme boulot (1300 contacts sur Linkedin) pour un résultat pratiquement nul, sauf en Afrique, vous savez le petit continent au sud. Voilà une bouteille à la mer de plus et je pense que beaucoup de chercheurs en France sont dans la même situation. C’est trés trés grave car dans le même temps on reproduit toujours la même chose. Le progrès ? C’est quoi ça ? La France est à l’arrêt, tétanisée.