La French Tech rentre dans sa deuxième phase. Le 3 avril 2019, 13 « capitales » et 38 « communautés » ont été labellisées par l’État. Pour Estelle Keroval, directrice du Technopole de Lannion, qui est à la fois communauté et membre d’une capitale, il s’agit d’une reconnaissance. « Cela démontre notre dynamisme et notre capacité à porter des success-story au niveau national. La French Tech nous apporte un effet levier : elle prouve l’écosystème favorable de notre territoire pour le développement économique à partir de nouveaux usages ou de nouvelles technologies. »
Les « capitales », qui peuvent contenir une ou plusieurs communautés, démontrent particulièrement les vertus de cet écosystème en remplissant plusieurs critères. Elles possèdent un « bâtiment totem », lieu identifié de la French Tech. Elles emploient trois personnes à temps plein pour animer les différents programmes du label. Et elles alignent chacune cinq entreprises ayant réussi leur transformation de « jeunes pousses » en véritables entreprises technologiques.
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Récompense de la première phase : tout le monde connaît la French Tech. Mais bien peu savent
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