Autour de la table, les regards se font observateurs. Chacun connaît la raison de sa présence dans cette salle du premier étage de la mairie de Cergy, mais ignore celle des autres. « Le pourquoi de votre présence, ici, ne concerne que vous et moi. Le sens de la mesure de TIG est de savoir comment, à partir d’une obligation, on peut tirer son épingle du jeu », glisse en introduction Christophe Simon, conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation du Val-d’Oise. Parmi ces sept hommes résidents du département, cinq ont été condamnés à un volume d’heures de TIG qu’ils effectueront au sein de la collectivité, deux autres à ne suivre que ce stage de citoyenneté qui sera décompté en tant que tel.
Bons codes
Lorsqu’ils ont reçu leur convocation, ils n’avaient pas vraiment idée du programme ...
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