Des effectifs supplémentaires qui tardent à arriver, des comités de pilotage locaux inexistants, des niveaux de concertation très variables… Un an après le lancement de la police de sécurité du quotidien (PSQ), c’est le constat sévère qu’en dressent les élus de France urbaine, dans un communiqué. Un bilan mitigé qui contraste avec celui, très positif, affiché en janvier par le ministère de l’Intérieur.
- Un an après, la PSQ laisse les élus sur leur faim
L’association, qui regroupe les grandes villes et les grandes intercommunalités, a réalisé une enquête, qui n’a pas été divulguée, auprès des 19 territoires expérimentateurs de la PSQ. 16 d’entre eux ont répondu. « Les résultats révèlent une très grande disparité de traitement des collectivités par le gouvernement, concernant le ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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