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La Mairie du 13e arrondissement de Paris se lancera, dans quelques semaines, dans une première expérimentation citoyenne sur la dangerosité des déplacements à vélo en milieu urbain.
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Le projet Comob, développé depuis trois ans à l’École nationale supérieure d’arts et métiers (ENSAM) de Paris, s’inscrit dans la dynamique des mobilités douces. L’objectif est de proposer aux cyclistes, au travers d’une application mobile et d’une cartographie, des trajets évitant les zones dangereuses et passant par des routes plus confortables et sécurisées.
Baptiste Sandoz et Damien Subit, chercheurs en biomécanique, ont eu l’idée d’évaluer la dangerosité des déplacements à vélo en ville grâce à des capteurs de distance. « Placés sur le cadre et à la hauteur de la roue arrière du vélo, ils permettent d’évaluer la distance entre le cycliste et son environnement (véhicules ou autre) » explique Baptiste Sandoz.
Ces capteurs, dont le coût unitaire s’élève à 300 euros, sont adaptables ...
Le message subliminal serait-il :
celui-ci : on ne va pas adapter la voirie, mais on vous indique où passer pour ne pas interférer avec le trafic motorisé
ou celui-là : en attendant d’adapter la voirie, on vous propose un itinéraire moins exposé