Ils n’ont pas de permis de conduire, ne possèdent pas de voiture, n’ont pas d’autre choix que de se déplacer en transport en commun… Ces usagers captifs représentent 10% des usagers des transports en commun. Totalement dépendants, ils sont davantage exposés aux risques, réels ou perçus, durant leurs trajets. C’est le résultat de l’étude publiée par l’ONDRP, jeudi 28 février, réalisée à partir des enquêtes Cadre de vie et sécurité (CVS) menées en 2009 et 2013 et intitulée « Sécurité dans les transports en commun : le cas des usagers captifs ».
Principal enseignement de cette étude, mise en ligne par la Gazette : ces usagers captifs sont relativement plus nombreux à se sentir rarement en sécurité dans ce contexte par rapport aux usagers qui utilisent volontairement les transports en commun ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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