Ils sont nomades, vivent dans une caravane et bougent souvent en été pour suivre les rassemblements évangéliques sur tout le territoire. Ils vivent en communauté. On les a longtemps appelés « gitans », terme péjoratif qui évoque la stigmatisation par la majorité sédentaire de cette minorité qui a choisi un mode de vie différent. On les confond souvent avec les Roms. Or, ceux que l’on appelle désormais « gens du voyage » ou « voyageurs » sont français dans leur immense majorité. Mais certains d’entre eux ont encore du mal
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Gazette des Communes
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Gens du voyage et collectivités : des relations toujours complexes
Sommaire du dossier
- Qualité des aires d’accueil : le silence gêné des collectivités
- Gens du voyage : vers une déshumanisation des aires d’accueil
- Gens du voyage : carton rouge aux règlements intérieurs des aires d’accueil
- Aires d’accueil : « Nous attendons une réaction législative et politique forte, elle ne vient pas »
- Gens du voyage : à la recherche d’un terrain d’entente
- Gens du voyage : quels sont les freins à l’aménagement des aires d’accueil ?
- Gens du voyage : des rassemblements évangéliques estivaux difficiles à cadrer
- Gens du voyage : sur le terrain, mutualisation et médiation portent leurs fruits
- « La loi devrait bientôt assouplir la réalisation des schémas départementaux »
- Gens du voyage : les clés d’une intégration réussie
- Gens du voyage : la loi « Carle » enfin publiée
- Gens du voyage : que faire pour éviter l’occupation sauvage de terrains publics ou privés ?
- Accueil des gens du voyage : quelles obligations pour les communes de plus de 5000 habitants ?
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