Tout a démarré par une rencontre entre deux femmes, à l’automne 2016 : Samia Bencherifa (1), coordinatrice du pôle pré-adolescents du centre social Georges-Lévy à Vaulx-en-Velin, et Anaïk Purenne (2), chercheuse en sciences sociales à l’École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE). « Je faisais une recherche sur les expériences des discriminations à l’adresse. J’ai sollicité le centre social, puis Samia a suggéré d’impliquer davantage les jeunes », se souvient Anaïk Purenne.
Relations dégradées
Ainsi naît l’idée de former les jeunes à la recherche : comment réaliser un questionnaire, comment conduire des entretiens. Un groupe d’une quinzaine de volontaires de 14 à 18 ans se constitue (3). « Cela les a fait mûrir et leur a permis de développer plein de compétences », considère ...
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