Avec son projet de loi « portant création de l’Office français de la biodiversité, modifiant les missions des fédérations des chasseurs et renforçant la police de l’environnement », qui vient d’être voté en première lecture à l’Assemblée, l’Etat achève la fusion des établissements publics nationaux dédiés à la protection de la biodiversité. En 2016 avaient déjà fusionné l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema), l’Agence des aires marines protégées, les Parcs nationaux de France et l’Atelier technique des espaces naturels.
L’Office national de la chasse et de la faune sauvage les rejoindra le 1erjanvier 2020, en même temps que les chasseurs verront baisser de deux cents euros le prix de leur permis (soit une diminution des recettes de 21 millions d’euros) et que ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Thèmes abordés