« Ça va mieux que si c’était pire. » Selon Christophe Bouillon, l’expression, entendue de façon récurrente lors de ses discussions avec les maires, résume bien la situation financière des petites villes, dont il préside l’association. Mardi 13 novembre, l’APVF a présenté la quatrième édition de l’étude « Regard financier sur les petites villes », réalisée par La Banque Postale et portant sur les 4 039 communes comptant de 2 500 à 25 000 habitants (1) – une strate loin d’être homogène. S’il n’est « pas catastrophique », l’état des finances des petites villes est en revanche « fragile », assure le député de Seine-Maritime, maire honoraire de Canteleu.
Les petites communes sont plus prudentes
Premier signe de cette fragilité, liste Christophe Bouillon, la baisse de l’épargne brute enregistrée en 2017, à -1,85 %. Un chiffre qui cache une grande disparité entre les communes de la strate :
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