L’Union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uriopss) et la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) des Hauts-de-France viennent de créer une « réserve sociale » afin de combler les besoins en personnels que la crise du coronavirus crée dans les établissements sociaux et médico-sosiaux toujours ouverts. Entre 50 et 70 % des salariés y travaillent actuellement, souligne Tiffany Thirolle, déléguée régionale de la FAS. Mais les autres (30 à 50 % selon les établissements) sont en arrêt au motif de la garde d’enfant ou de maladie, notamment le coronavirus, ou encore parce qu’ils font partie des personnes « à risque » de complication en cas de contamination au Covid-19.
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Sur la première page de la nouvelle plateforme en ligne, les ...
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