Après la crise de 2008, des voix de plus en plus nombreuses se sont élevées pour mettre en cause le modèle linéaire « extraire-produire-consommer-jeter » qui prévaut depuis la Révolution industrielle. « Ce système a trouvé ses limites et mène aujourd’hui dans une impasse. Une mutation s’impose », plaide inlassablement François-Michel Lambert, député (LREM) des Bouches-du-Rhône et président de l’Institut de l’économie circulaire.
Prenant acte de la raréfaction des ressources, les partisans de l’économie circulaire prônent une autre approche de la fabrication et de la consommation, réduisant le gaspillage des matières premières et de l’énergie, substituant une économie de flux à une économie de stocks, privilégiant l’utilisation plutôt que la ...
Contenu réservé aux abonnés
- Gazette des communes
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous à La Gazette
Cet article n’est pas disponible dans l’offre d’essai du club. Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous au à La Gazette
Votre offre d’essai est arrivée à terme. Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous au à La Gazette
S'abonner Déjà abonné ? connexionCet article fait partie du Dossier
Economie circulaire : et si on passait de la parole aux actes ?
Sommaire du dossier
- Etude : les collectivités dans la boucle de l’économie circulaire
- Entrez dans le monde vertueux de l’économie circulaire !
- Bientôt un label pour une reconnaissance officielle de l’économie circulaire dans les territoires
- Economie circulaire : comment agir sur tous les fronts
Thèmes abordés