La mesure phare pour lutter contre la pandémie de coronavirus – le confinement – en témoigne et Leilani Farha, rapporteuse spéciale des Nations unies sur le droit à un logement convenable, le dit clairement à nos collègues de RFI : « le logement est devenu la première ligne de défense face au coronavirus.
Le logement a rarement autant été une question de vie ou de mort ». Réalité cruelle pour les sans-logis, mal-logés et locataires en situation de précarité économique, l’épidémie les met davantage en danger que les autres. De plus, alerte le Samu Social de Paris, ils vivent, en raison du confinement, l’« urgence alimentaire » faute d’accès aux ressources alimentaires.
La trêve hivernale prolongée jusqu’au 31 mai
Alors qu’une pétition « COVID 19 : SOS sans logis, mal logés et locataires ...
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- Les chiffres du mal-logement, Fondation Abbé Pierre, rapport 2018
- Communiqués de presse Covid 19 : hébergement d’urgence, ministère du Logement
Cet article fait partie du Dossier
Coronavirus : les professionnels du médico-social répondent présents
Sommaire du dossier
- Les travailleurs sociaux face à la peur de la contamination
- Les professionnels de la petite enfance font face au confinement
- Malgré le confinement, le soutien à la parentalité cherche à garder le lien
- Covid-19 : la communication tardive du Gouvernement en direction du secteur social et médico-social
- Coronavirus : l’ESS craint pour ses missions sociales
- Stop aux féminicides : pendant le confinement, la lutte continue
- Confinement : le logement a rarement autant été une question de vie ou de mort
- Confinement : les associations se mobilisent pour maintenir la distribution de l’aide alimentaire, avec difficulté
- Coronavirus : priorité au maintien à domicile pour le handicap
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