Carte blanche à Cahors c’est l’histoire d’un dispositif mené au pas de charge. Moins d’un an après la venue d’Edouard Philippe ici, le Lot, département rural et vieillissant, vient de passer huit mois sous la loupe de la direction interministérielle de la transformation publique (DITP), chargée de piloter cette expérimentation. Cinq solutions sont donc en cours d’évaluation jusqu’à la fin de l’année dans le bassin de vie de Cahors.
« Il n’était pas question de pointer les carences ou de se substituer à l’existant, mais plutôt de laisser carte blanche aux acteurs locaux », résume Melissa Deleron, directrice de projet de l’expérimentation carte blanche à la DITP.
Dans le Lot, l’expérience a démarré par une phase d’un mois et demi d’immersion dans les lieux d’accueils de services publics, au contact des usagers, représentants d’usagers et agents de collectivités. « Nous souhaitions sortir des découpages administratifs, c’est pourquoi nous avons inclus dans le dispositif, le bassin de vie de Cahors qui compte 65 communes, le conseil départemental et des territoires plus ruraux comme les communautés des communes de Lalbenque ou du Causse de Labastide Murat », décrit Mélissa Deleron.
Autre prérequis, libérer la parole des agents en organisant des séminaires de co-construction sans tenir compte des contraintes hiérarchiques pour faire émerger des pistes de solutions.
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