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Politique de la ville

Quartiers prioritaires : effet sas ou effet nasse ?

Publié le 20/09/2018 • Par Véronique Vigne-Lepage • dans : France

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Amanda Vincent-Rous (Flickr)
Le rapport 2017 de l’Observatoire national de la politique de la ville, remis le 20 septembre, au ministre de la Cohésion des territoires, révèle que les « mobilités résidentielles des habitants des quartiers prioritaires » - son titre - sont réelles. Ces quartiers s’avèrent bien être un « sas », que certains rejoignent pour se rapprocher des secteurs d’emploi et de prix de l’immobilier accessibles… tandis que d’autres les quittent dès qu’ils ont acquis plus d’aisance financière. Ce qui explique la persistance des difficultés de ces quartiers.

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« Mobilité résidentielle des habitants des quartiers prioritaires » : tel est le titre du rapport 2017 de l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV), que son président, Jean-François Cordet, a officiellement remis, ce jeudi 20 septembre, au ministre de la Cohésion des territoires.

Ce document, publié fin juillet, comporte pour la première fois une première partie consacrée à un seul et même thème, en l’occurrence celui de la mobilité résidentielle des habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV). Un thème « essentiel pour qui veut appréhender et analyser l’effet réel des politiques publiques mises en oeuvre sur ces territoires », assure Jean-François Cordet dans son introduction. Objectif : analyser si ces quartiers sont des « sas » ou des « nasses ».

Des logements trop petits

Premier enseignement : on déménage autant dans les QPV que dans le reste des aires urbaines.  C’est le cas en moyenne d’un habitant sur dix. Un constat permis par l’utilisation, pour la première fois, des fichiers fonciers et fiscaux de l’administration fiscale (base Fideli) et corroborés par la compilation de sept analyses statistiques nationales et ...

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Commentaires

Quartiers prioritaires : effet sas ou effet nasse ?

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brigitte13

21/09/2018 08h59

Bonjour,
Un diagnostic si pertinent soit-il reste incomplet s’il n’évoque pas l’étiologie du phénomène étudié. D’où viennent les quartiers prioritaires ? La plupart ont été construits sous les Trente glorieuses. Les plus anciens, pour résorber les bidonvilles installés après guerre, autour des grandes villes, notamment Paris, puis pour loger les travailleurs étrangers et leurs familles, enfin, à compter des années 70, pour accueillir les citadins expulsés des villes par des opérations de rénovations immobilières lucratives. A l’origine, les normes de confort, notamment d’hygiène, y étaient supérieures à celles des habitations plus anciennes mais les habitants y disposaient en général de petits voire de très petits moyens. Malgré cette caractéristique, les municipalités ont su y développer une dynamique basée sur la solidarité, la reconnaissance et l’encouragement des talents. Je ne suis pas compétente pour développer l’évolution sociologique des « ceintures rouges » mais tenais à rappeler que malgré les difficultés qui s’y rencontrent et parfois s’y concentrent, les QVP jouent un rôle de tremplin social précieux.
Cordialement,

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