Six ans après la création du Conseil national des activités privées de sécurité, le renforcement du contrôle de la formation en 2016 et l’extension de l’armement des “privés”, depuis le 1er janvier dernier, il reste en effet, pour les deux députés, encore fort à faire. Si les 167 800 agents de sécurité privée sont désormais jugés indispensables, ils constituent, relève le spécialiste de la sécurité privée Guillaume Farde, le nouveau “prolétariat de la sécurité intérieure”.
Dans leur rapport de 178 pages, l’ancien patron du Raid et l’avocate listent en tout 36 propositions pour “établir une relation de confiance qui aujourd’hui n’existe pas” avec ce secteur. Moins douteuse, plus rentable, les deux députés espèrent voir émerger une sécurité privée capable de renforcer sa collaboration avec ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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