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La directive sur les eaux potables, en cours de révision, introduit des perturbateurs endocriniens à surveiller. Mais les chercheurs et associations remettent en cause l’approche par substance des normes de qualité. N’est-il pas temps de passer aux mesures des effets sur le vivant ?
Ma Gazette
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Les normes de surveillance de la qualité de l’eau sont-elles à la hauteur des enjeux actuels sur les dangers sanitaires liés à l’eau ? Voilà une question hautement taboue qu’il va pourtant falloir traiter, alors que la deuxième partie des Assises de l’eau prévue à partir de cette rentrée porte justement sur la qualité de l’eau.
Par ailleurs, la deuxième Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE), présentée cet été, attend son plan d’action incessamment du ministère de la Transition écologique et solidaire. Serait-ce dans cette perspective que le président de Procter & Gamble France a ...
Bonjour,
La pertinence scientifique de baser l’évaluation sanitaire de la qualité de l’eau sur des tests biologiques (et non sur des mesures physicochimiques de polluants) commencerait-elle à percoler les esprits des décideurs ?
Suggestion de lecture : https://lanaturedeleau.blogspot.com/2016/01/qualite-de-leau-eaulistic-une-methode.html
Bien à vous
Yann Olivaux