Quand se conjuguent beaux jours et temps libre, nombre de parents rêvent de voir leurs enfants jouer en plein air. À une époque où les modes de vie s’urbanisent à la vitesse grand V, avec pour corollaire une diminution du temps passé en extérieur, ils estiment que ce retour au vert est profitable. Et ils sont loin d’avoir tort.
En tant qu’espèce humaine, notre évolution est liée au monde naturel. Dès le plus jeune âge, le contact avec la faune et la flore est nécessaire à notre développement. Lorsqu’il se réduit, devenant soit trop rare, soit trop pauvre, des effets négatifs apparaissent, comme l’obésité ou l’anxiété. Ce sont ces « troubles associés au manque de nature » que soulignait dès 2008 l’auteur Richard Louv dans son best-seller intitulé Last Child in the Woods.
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