Depuis quelques semaines, la ministre des Transports, Elisabeth Borne, a présenté, thématique par thématique, les grandes lignes de chacun des volets de cette loi d’orientation des mobilités.
Après celui sur la mobilité solidaire, celui sur les aspects numériques et la refonte de la gouvernance présentée dans une interview accordée à la Gazette, c’est le chapitre “mobilité propre” qui a fait l’objet d’une conférence commune le 20 juillet avec Nicolas Hulot. “On va peut-être enfin prendre le taureau par les cornes” espère le ministre de la Transition écologique et solidaire, avant de rappeler les dégâts sanitaires provoqués par la pollution de l’air dont les transports sont le premier secteur responsable.
Nouveaux outils
Comme pour de nombreux autres aspects de la LOM, ce sont les collectivités territoriales qui vont être au coeur du dispositif. “Il est du ressort de l’Etat de fixer le cap et d’apporter les outils nécessaires, mais l’effort doit être collectif”, a estimé Elisabeth Borne. Certains élus ne demandent pas mieux.
Christophe Najdovski, adjoint en charge des transports à la Ville de Paris et présent aux côtés des deux ministres, souligne que “la population nous presse d’agir”, mais il y a une absence
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Cet article est en relation avec les dossiers
- Bus propres : en avant toute !
- Le vélo part à la conquête des villes
- Transports et numérique : vers une mobilité réinventée
- Véhicules électriques : la révolution est-elle en marche ?
Thèmes abordés