© Eleonore Horiot/AdobeStock
Le retour à la semaine de 4 jours l’an dernier a pris de court les régions, nouvelles responsables du transport scolaire. Un an après, les adaptations se font finalement sans trop de difficultés après de nombreuses discussions avec les communes. Mais la problématique des conséquences pour les transporteurs demeure.
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Jean-Michel Blanquer n’avait pas traîné. Peu après son arrivée au ministère de l’Education nationale, le 27 juin 2017, il prenait un décret permettant aux communes qui le souhaitent de revenir à la semaine de 4 jours. Un an après, elles sont nombreuses à avoir fait ce choix. Une décision qui ne fut pas sans conséquence pour les transports scolaires, mission récemment récupérée par les régions suite à la loi NOTRe. Celles-ci se seraient bien passées de ce défi supplémentaire alors qu’elles devaient déjà gérer ce transfert de compétences (et donc de personnels) qui, pour nombre d’entre elles ...