Les capteurs utilisés à Rennes mesurent un seul paramètre : les particules fines (PM2,5).
© MCE
Rennes est la première ville de France à mener un projet de capteurs de l’air "open source" dans une démarche participative. Pas si simple à mettre en œuvre. Confrontée à la réalité de terrain, l’idée de départ a dû s’adapter.
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Retenue à l’appel à projets de l’Ademe sur la qualité de l’air en 2016, Rennes (Ille-et-Vilaine) a coconstruit avec le milieu associatif une démarche de sensibilisation à la qualité de l’air, nommée Ambassad’air. C’est la maison de la consommation et de l’environnement (MCE) qui en assure le portage technique.
Initialement, des microcapteurs devaient être fabriqués par les habitants eux-mêmes, avec l’aide du FabLab de Rennes, et les données partagées en instantané sur un site de la ville. Mais sur le terrain, la réalisation s’est avérée plus compliquée que prévu. « L’un des problèmes de ...