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Prostitution

Sortie de la prostitution : les départements à la traîne

Publié le 16/04/2018 • Par Judith Chetrit • dans : A la Une prévention-sécurité, Actu expert santé social, Actu experts prévention sécurité, France

prostitution
Flickr
Deux ans après la promulgation de la loi de lutte contre la prostitution, pénalisant les clients, une étude relayée par des associations en présente un bilan contrasté. Elle pointe une détérioration des conditions de vie des travailleurs du sexe et une insuffisance de suivi des “parcours de sortie” de la prostitution coordonnés par les départements.

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Depuis avril 2016, si le délit de racolage a été abrogé, les clients de prostitué(e)s peuvent encourir une amende d’un montant de 1500 euros, pouvant aller jusqu’à 3750 euros en cas de récidive. Selon une étude coordonnée par Hélène Le Bail, chercheure au CNRS-CERI, compilant les témoignages de travailleurs du sexe et d’associations de terrain initialement défavorables à la loi comme Médecins du Monde ou le planning familial, ils seraient aujourd’hui moins nombreux, malgré un nombre faible de verbalisations depuis le vote de la loi qui visait à décourager la clientèle.

Un peu plus de 2 300 procès-verbaux ont ainsi été dressées, alors qu’il existerait 35000 à 45000 prostitué(e)s en France. Près de la moitié de ces contraventions ont été réglées à Paris et ont rarement dépassé les 300 euros, selon Le Parisien. Par ailleurs, les stages de sensibilisation « à la lutte contre l’achat d’actes sexuels », censés accompagner ces amendes, n’existent pour l’heure que dans quatre départements selon le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.

Précarisation

Résultat : avec une diminution du nombre de clients, les conditions de travail des personnes ...

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Commentaires

Sortie de la prostitution : les départements à la traîne

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Djouni44

18/04/2018 02h57

Merci pour cet article mais je voulais vous faire une réflexion.
Il faudrait que l’on arrêt l’hypocrisie et le mensonge car par exemple Nantes la ville qui a célébré, en grandes pompes l’abolition de l’esclavage, en mars 2012 est un modèle du genre.
Tous les soirs rue Paul Bellamy des dizaines et des dizaines de jeunes filles (du Bénin sauf erreur) sont « prostituées » et ni la Mairie ni la Préfecture fait quoique que ce soit pour les sortir de ce Malheur.
J’en conclue que la prostitution est acceptée et voulue tout comme cette esclavagisme.
Merci si vous publié cela !
La vérification est on ne peut plus simple à faire. Je suis nantais.

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