Améliorer la qualité des services publics, offrir un environnement de travail modernisé aux fonctionnaires et maîtriser les dépenses publiques en optimisant les moyens. Tels sont les objectifs —qui rappellent des souvenirs— du programme Action publique 2022, fixés par le gouvernement lors de son lancement le 13 octobre 2017. Pour mener à bien son projet de transformation transversale de l’action publique, il a sorti l’artillerie lourde afin de se distinguer des précédentes réformes RGPP et MAP : une contribution de chaque ministère sur 21 politiques sectorielles et cinq chantiers interministériels, un forum de l’action publique impliquant usagers et agents publics avec notamment l’organisation, dans toute la France, de forums régionaux, et un comité d’experts indépendants, où siègent pas moins de 34 personnalités qualifiées. Sauf qu’à vouloir multiplier les outils et les méthodes, le brouillard s’installe sur cette grande réforme de l’action publique du quinquennat Macron.
Une concertation expéditive, estiment les syndicats
Première fausse note, un accueil des syndicats plutôt frileux face à une concertation que ces derniers ont estimée expéditive. Ainsi, la confédération CGT a ...
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- Gazette des communes
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