« La commission départementale d’aménagement commercial (CDAC) a son intérêt. Car le département est un bassin de vie qui a du sens… mais je suis membre d’une CDAC et nous sommes tous conscients que cela ne fonctionne pas » tranche d’emblée Corinne Casonova.
Trop de jugements en amitié dans les CDAC
Pour cette élue locale, les territoires porteurs de SCOT ou de DAC prescriptive ne posent pas de problème, « car il y a eu des discussions sur le commerce en amont, et on peut donc valider ou pas ». En revanche, dit-elle, « faute de SCOT ou de DAC, nous avons des élus qui jugent effectivement en opportunité ou en amitié ». Et cette dernière de proposer que les élus, venant siéger en commission dans ce cas précis, soient mandatés par leurs intercommunalités (…)
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