Alors que le conflit relatif à la perception de droits, par la Société civile des éditeurs de langue française (SCELF) sur les lectures d’oeuvre en public menaçait de gâcher la fête lors de la Nuit de la lecture, prévue le 20 janvier, bibliothécaires, auteurs et ministère de la Culture vont finalement pouvoir y participer l’esprit plus serein.
Rôle des bibliothèques
Par communiqué, la Rue de Valois a relayé le 18 janvier la décision de la SCELF (annoncée par cette dernière dans une déclaration rendue publique quelques heures plus tôt), de renoncer à percevoir des droits de représentation sur les lectures d’œuvres en public dans deux cas :
- les lectures gratuites organisées par les bibliothèques ;
- les lectures réalisées par les auteurs eux-mêmes.
Pour l’Association des ...
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